Ruines et paysages bruts. Sur l’art involontaire

On tentera ici de défaire l’idéologie du « brut » dans les analyses paysage – le fantasme ce qui n’aurait pas ou aurait été peu abimé par activités industrielles et autres traces l’homme. Le paysagiste Gilles Clément montre que milieux résistent toujours à la fois leur exploitation préservation. Ils sont dynamiques inventifs ; il faut faire avec leurs qualités spécifiques. envisagera appelle Tiers », concept visant friches délaissés urbains où l’activité semble suspendue amortie, mais deviennent manifestement des refuges biodiversité, fait l’absence d’entretien. ses ruines permettent un rapport réinventé au paysage, non-esthétique tiendrait compte l’art involontaire art situation ne prenant exactement formes sauvage brut, intégrant l’aléatoire artifices. évoquera aussi en guise d’envoi photographies Josef Koudelka, invitent revoir sous cet angle conventions l’esthétique ruiniste - Koudelka pratique assumant complexité son objet, objet abimé, morbide, pourtant majestueux.